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jeudi 12 février 2015

Les femmes peuvent-elles stimuler un orgasme ?

L'on parle souvent de femmes qui simuleraient souvent le plaisir et tromperaient ainsi le mâle, leur faisant croire avoir joui alors qu'en fait, non.

femme juit champ

Outre le fait qu'à moins qu'elles ne soient en train de tourner dans un film X ou d'offrir une prestation tarifée je ne vois guère l'intérêt de feindre la jouissance et de perdre ainsi une chance unique de connaître la petite mort !

Et, qu'il serait certainement plus sain de dialoguer avec le ou la partenaire afin d'arriver à jouir à deux comme de joyeux petits gorets enamourés.

Je ne pense pas qu'il soit effectivement possible de feindre un orgasme !

J'entends déjà plusieurs d'entre vous Mesdames se mettre à geindre, un sourire aux lèvres en pensant quel idiot cet Essbé s'il m'entendait il penserait autrement.

couple fait amour

Eh bien non, car jouir ne ressemble en rien aux pâles ersatz des films pornos.
La jouissance, féminine n'est pas seulement faite de halètements, de soupirs, de geignements et autre "prends-moi toutes", tel qu'éructé par des actrices pornos guère inspirées.

 visage femme jouit

Lorsqu'une femme jouit (dans le désordre) elle :

sue,

des rougeurs apparaissent, souvent, sur sa peau, particulièrement sur le torse,

elle bande, le volume de ses seins augmente, et ils s'affermissent (profitez-en Messieurs et Mesdames pour jouer avec encore plus !),

ses lèvres vaginales se gorgent de sang et s'allongent,

est prise de contractions et de spasmes musculaires (un petit bout de femme peut ainsi soulever lors de l'orgasme un homme deux fois plus lourd qu'elle),

elle hyperventile, respirant beaucoup plus vite,

le cœur s'emballe, stoppe moins d'une seconde, puis repart à un rythme lent et profond,

elle s'agite, se tord, se contracte, mord, griffe, empoigne, bref ! perd le contrôle,

a des spasmes et contractions du vagin (sensation délicieuse pour l'homme que mesdames les gougnottes ne connaîtront pas),

d'écoulement, voire d'émission de cyprine (on parle d'éjaculation féminine),

son sang se gorgeant d'endorphine, elle en est saoule, ronronne telle une chatte repue, ses yeux se voilent et s'humidifient, la rendant câline et voluptueuse (c'est là le meilleur moment pour lui parler cul, fantasme ou lui dire que vous avez par inadvertance brisé le vase offert par belle-maman).

femme se tord plaisir

Alors, non, je ne pense pas que vous puissiez, Mesdames, simuler.

Ce, à moins que votre amant ou amante ne soient pas attentif, s'en moque ou n'ait aucune expérience, ne sachant comment lire ce magnifique livre qu'est le corps de la femme...

Sur un sujet similaire voire cet article : L'étoile de mer ou ma réponse à l'article de Desculottées

Les délices d'Alicecouverture délice alice
 
Érotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

lundi 9 février 2015

Trois commentaires pour "les délices d'Alice !"

5.0 étoiles sur 5 Essbé conjugué au mode Apollinaire..., 7 février 2015


Ce commentaire fait référence à cette édition : Les délices d'Alice (Format Kindle)

Dans le secret des bibliothèques, derrière les reliures sévères et précieuses, se cachent bien des mystères...
Vous y trouverez peut-être "Les délices d'Alice" un roman digne des plus grands auteurs de la célèbre série rose.

Page après page, cet ouvrage vous conduit dans de curieux méandres aussi inavouables qu'insoupçonnés, où à la découverte du fruit défendu se mêlent les derniers soubresauts de l'innocence perdue.

Essbé serait-il le nouveau Guillaume Apollinaire du 21ème siècle ?

Pour ma part la réponse est "Oui !"
 
5.0 étoiles sur 5 Très bonne inspiration du roman d'Alice..., 7 février 2015
 
Achat vérifié(De quoi s'agit-il ?)
Ce commentaire fait référence à cette édition : Les délices d'Alice (Format Kindle)
Oui, érotisme, relativement bien détaillé, avec le clin d'œil à l'auteur d'Alice au pays des merveilles, du Révérend Dodgson..
Mais les merveilles, - en dehors des petits lapins - ne sont pas comme celles du livre original...
C'est plutôt l'initiation aux divers plaisirs du corps, et peut se lire de plusieurs manières...
Il y a la première étape, où Alice est emportée, malgré elle, dans un monde de délices...
Une autre étape, où elle culpabilise, mais l'appel de la chair est le plus fort.
Encore une autre, avec une femme...
La suite ? Découvrez là.
Ce petit texte d'une centaine de pages est une bonne initiation pour nos enfants... Et leur évitera d'attraper des microbes...
 
5.0 étoiles sur 5 Véritable roman érotique dans les règles de l'art, 19 janvier 2015
Achat vérifié(De quoi s'agit-il ?)
Ce commentaire fait référence à cette édition : Les délices d'Alice (Format Kindle)
Vraiment une très bonne surprise !

Beaucoup d'humour, un style bien à lui mais dans les règles de l'art du roman érotique.

Un passage m'a beaucoup plus dans la montée progressive de la découverte de sa sensualité... Alice qui fond sous les doigts de M. Dogson, mais je n'en dis pas plus, vous découvrirez par vous-même !

L'auteur m'a donc transporté dans son récit et je l'ai lu d'un seul coup, avec un plaisir évident.
 
Les délices d'Alicecouverture délice alice
 
Érotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

samedi 7 février 2015

Deuxième commentaires des Délices d'Alice

5.0 étoiles sur 5 Très bonne inspiration du roman d'Alice..., 7 février 2015


Achat vérifié(De quoi s'agit-il ?)

Ce commentaire fait référence à cette édition : Les délices d'Alice (Format Kindle)

Oui, érotisme, relativement bien détaillé, avec le clin d'œil à l'auteur d'Alice au pays des merveilles, du Révérend Dodgson..
Mais les merveilles, - en dehors des petits lapins - ne sont pas comme celles du livre original...
C'est plutôt l'initiation aux divers plaisirs du corps, et peut se lire de plusieurs manières...
Il y a la première étape, où Alice est emportée, malgré elle, dans un monde de délices...
Une autre étape, où elle culpabilise, mais l'appel de la chair est le plus fort.
Encore une autre, avec une femme...
La suite ? Découvrez là.
Ce petit texte d'une centaine de pages est une bonne initiation pour nos enfants... Et leur évitera d'attraper des microbes...

Cinquante nuances d'Alice

Sidéré par les "Cinquante nuances de Grey" !
J'ai essayé de le lire, pas pu ! Au-dessus de mes forces...
Je n’en dirai pas de mal, j'aime pas, préfère pas parler de quelque chose ou de quelqu'un qu'en dire du mal.

Mais, alors ? me direz-vous, quel est le but de ce billet ?
Simple, étant aspirant (je débute) auteur érotique, je pense, de mon devoir de défendre le fait que ces cinquante nuances ne sont NULLEMENT érotiques.
Le sexe y est fade.
Mal décrit.
Sans aucune inspiration.
On dirait un reportage hippique : relisez des extraits (ici) en ânonnant comme un présentateur de journal sportif et vous verrez !
L'auteur a-t-elle seulement déjà fait l'amour, ressentie de l'érotisme et de l'excitation pour un, une partenaire ? Je ne pense pas !
Non, ce n'est pas de l'érotisme, même pas du porno !

En voici la preuve :

Extrait 1 des cinquante nuances de Grey p160 :

"- Aaah !
Mon corps se cambre et se convulse au contact de sa langue. Il la fait tournoyer encore et encore, sans relâche, il me torture, je perds pied, chaque atome de mon être se concentre sur cette petite centrale électrique qui grésille entre mes cuisses, mes jambes se raidissent... Il glisse un doigt en moi.
- Bébé, tu mouilles tellement pour moi... j'adore.
Il décrit un large cercle avec son doigt, m'étire, me distend, sa langue imite ses gestes, elle tourne, tourne elle aussi. C'est trop... Mon corps supplie qu'on le soulage. Incapable de le lui refuser plus longtemps, je me laisse aller, perdant toute pensée cohérente quand l'orgasme s'empare de moi, tordant mon ventre en longs spasmes. Bordel de merde.
Je hurle et le monde s'effondre, anéanti par la force de ma jouissance.
Je halète si fort que j'entends à peine le déchirement d'un emballage. Très lentement, il s'insinue en moi et se met à bouger. Ah... mon Dieu, ça me fait mal, ça me fait du bien, c'est dur et doux en même temps."

Ma version d'un cunnilingus :

" Les lèvres de son sexe corail émirent un bruit de succion humide lorsqu’elles s’écartèrent, une fois séparées de leur barrière de coton. Il finit d’enlever la culotte en respira le parfum de désir, puis les yeux troublent, il se mit à la masturber des deux mains. Il lui écarta les lèvres les plissa, les étira, les roula et les palpa, puis de deux doigts inquisiteurs, la pénétra, se frottant à toutes les parties de sa chatte qu’il pouvait atteindre. La voyant se tordre, gémir, s’accrocher aux draps, la langue sortie et les yeux fous, il la sodomisa d’un doigt de son autre main, ce qui la fit jouir à grand bruit pendant qu’il allait et venait en elle.
 
Il la laissa se reposer, reprit son souffle, en détachant sa cravate de coton peigné blanc, et en enlevant ses mocassins de cuir et sa veste de coton de la même couleur. Ce, sans cesser de dévorer sa vulve grande écartée des yeux. Ensuite, il s’agenouilla et entreprit de le faire autrement.
Alice commençait à peine à se remettre de son orgasme lorsqu’elle sentit les mains du vieil homme reprendre possession de ses cuisses et sa langue entreprendre de lui lécher consciencieusement et, savamment le sexe. Elle ne tarda pas à repartir vers le monde des orgasmes, où elle resta un long moment tant les aptitudes et connaissances linguistiques de celui-ci étaient étendues. Quand tremblante, flageolante, elle reprit de nouveau ses esprits, ce fut pour le voir goguenard, les lèvres luisantes de mouille, la toiser."
 
Une pseudo scène de fessée, ou prélude à, toujours le tome 1 des cinquante nuance de Grey :
 
"-Tu veux me donner une fessée.
-Oui, et je vais te la donner.
-Vraiment, monsieur Grey ?
Je le défie avec un sourire. On peut être deux à jouer ce jeu-là.
-Tu comptes m'en empêcher ?
-Il faudra que tu m'attrapes.
Ses yeux s'écarquillent légèrement et il sourit en se levant lentement.
-Vraiment, mademoiselle Steele ?
Le bar est entre nous, je n'ai jamais été plus heureuse qu'il existe qu'en ce moment.
-En plus, tu te mordilles la lèvre, souffle-t-il en se déplaçant légèrement vers sa gauche, tandis que je me déplace vers la mienne.
-Tu n'oseras pas. Après tout, toi aussi tu lèves les yeux au ciel.
J'essaie de le raisonner. Il continue à aller vers la gauche. Je me décale.
-Oui, mais toi, tu viens de faire monter les enjeux d'un cran.
Ses yeux étincèlent, une impatiente folle émane de tout son être. Je feins la nonchalance :
-je cours très vite, tu sais.
-Moi aussi.
Il me pourchasse dans sa propre cuisine.
-Tu vas venir sans faire d'histoires, oui ?
-Ça m'est déjà arrivé ?
-Mademoiselle Steele,
que voulez-vous dire par là ? ricane-t-il. Ça va être bien pire si je suis obligé de venir te chercher.
-À condition que tu m'attrapes, Christian. Et, en ce moment, je n'ai aucune intention de te laisser faire.
-Anastasia, tu pourrais tomber et te faire mal. Ce qui te placerait en infraction directe à la règle numéro six.
-Et je suis en danger depuis que je vous connais, monsieur Grey, avec ou sans règles.
-En effet.
Soudains il se jette sur moi, ce qui me fait hurler ; je m'élance vers la table de la salle à manger, que j'interpose entre nous. Mon cœur bat à tout rompre et l'adrénaline m'inonde le corps... qu'est-ce c'est excitant ! Je suis redevenu une petite fille, enfin, pas vraiment. Je le guette qui s'avance vers moi d'un pas délibéré. Je recule lentement.
-Tu sais distraire un homme, Anastasia.
-Vous satisfaire est notre priorité. Te distraire de quoi ?
-De la vie. De l'univers.
Il agite une main dans le vide.
-Tu avais en effet l'air très préoccupé quand tu jouais du piano.
Il s'arrête et croise les bras, amusés.
-On pourrait passer la journée à ça, bébé, mais je vais finir par t'attraper, et ça sera encore pire pour toi."


 
Ma description d'une fessée :
 
"Voyant la pauvre Alice éperdue de plaisir, sur le point de se pâmer, incapable de rester plus longtemps debout, Mme Black, lui soutint les fesses de son autre main. La gardant collée contre elle, elle continua de la branler ainsi l’amenant d’orgasme en orgasme tout en lui caressant son doux et ferme petit cul.
« Et par là, est-ce que l’on aime ?
Non ! Non, pitié…
Oh ! Mais si on aime ! Vilaine ! Vilaine menteuse ! Regardez comme mon doigt vous encule sans problème, je peux même vous en mettre deux. Et en plus on en jouit ! Ah ! Cette fois c’est trop petite demoiselle ! Trop de mensonges ! »
Elle la prit et toujours la caressante la déposa sur le lit. Elle se déshabilla elle-même, découvrant un corps quelque peu arrondi de blonde couverte de grain de sons, aux seins gros, mais encore assez fermes. Elle s’assit sur le lit, puis prit Alice et la mit sur ses genoux, et lui mit une claque sur les fesses. Ce qui la fit crier.
« Voilà comment on soigne les vilaines petites menteuses ! »
Elle lui redonna une autre tape : « Comptez vilaine ! Comptez ! »
« Mais… aïe ! Aïe ! Arrêtez ! Arrêtez ! »
« Comptez vilaine fille !
Aïe !
Où cela n’aura de fin.
Aïe ! Ouille ! Un, ouille ! Deux…»
Et ainsi, elle la fit compter jusqu’à dix n’arrêtant que là sa fessée. Alice, avait le derrière qui lui cuisait. Mme Black, la fit se relever et toujours assise la toisa.
« Alors sommes-nous toujours une vilaine fille ?
Non… », dit Alice d’une petite voix pleurnicharde.
« Comment ?
Non !
Bien ! » Elle lui sourit et lui caressa le visage. « On ne dira plus que l’on n’est pas excitée quand ce n’est pas vrai où l’on sera punie. »
Elle posa sa main sur l’épaule d’Alice, et la fit s’agenouiller à ses pieds.
« Bien, gentille petite. Maintenant, il faut apaiser Mme Black, que l’on a excité. » "

 
 
Je pourrai continuer ainsi pendant des pages et des pages mais allez plutôt lire les trois chapitres de mon livre en lecture libre sur ce blog :
premier chapitre.
deuxième chapitre.
troisième chapitre.

Si vous voulez lire l'histoire d'une relation amoureuse tourmentée et destructrice (ce qui est le cas des cinquante nuances de Grey) : lisez plutôt 9 semaines et 1/2.
 
9 Semaines 1/2
 
Pour une relation SM : Histoire d'O.
histoire d'O
Histoire d'O, précédé de «Le bonheur dans l'esclavage» par Jean Paulhan (Littérature Française)
 
Pour un roman BDSM : Les aventures de Cyrine
couverture aventure cyrine
Les aventures de Cyrine
 
Et si vous aimez l'érotisme :
Les délices d'Alicecouverture délice alice
 
Alors, parlez-en autour de vous et dites à tous ceux et celles qui ont aimé les 50 nuances de Grey d'essayer les cinquante nuances d'Alice !

Par ailleurs je vous recommande de visionner les parodies hilarantes du film : "Les cinquante nuances de Grey" sur le blog : entre cuir et dentelles
 
Érotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

vendredi 6 février 2015

Dis-moi vous ou le plaisir de voussoyer

Marre, de rencontrer une jolie jeune femme, ou femme et, qu'elle me dise tu d'emblée.

homme se retourne jolie femme

Et le vous, bordel ?

Mesdames, Messieurs, cessez de dire, tu à peine avez-vous rencontré l'autre !
Le vous à une raison d'être, celle de créer une distance polie avec l'inconnu(e).

Et cette distance, vous la voulez franchir...
Millimètre par millimètre, à coups de regards, de respirations, de suggestions, de double sens...
Cette distance de quatre lettres : V.O.U.S. vous devez la franchir doucement afin de l'amener à être TU.
Mais sans qu'elle ne soit tue.
Ce tu, ce mérite !

femme masquée

Et, c'est là, l'un des prémisses de la sensualité et de l'érotisme.
Ce vous, sensuel est magnifique lorsqu'enrobé de désir, voilé de sensualité.
Déshabillage verbal qui fait monter le désir.
Vous : caresse verbale à user pour enjôler et séduire, cet autrui que vous voulez dénuder.

Alors, prenez le temps de le savourer,ce vous.
De le vivre, dans l'ici et le maintenant de la rencontre.
Voussoyez, poliment tout en animalisant votre regard.
Dites-vous, tout en la / le caressant des yeux.
Dites-vous, en faisant comprendre à cet autre combien grand est votre désir.
Qu'il se promène au bout de vos doigts lorsque vous attaquez les boutons qui vous séparent de cette chair que vous convoitez !
Voussoyez ce genou que vous commencez à découvrir de la pulpe de vos doigts.
Soufflez, ce vous, sur la peau que vous allez embrasser...
Voussoyez-le ou la, jusqu'à en bander, à en trembler de désir, et passez au tu que lorsque l'intimité sera...

sein dénudé

Pour ceux, d'entres-vous qui êtes en couple : un petit jeu.
Règles (vilain mot, mais bon...) :
Envoyez à votre moitié une invitation à sortir bien habillé au restaurant, ou dans un bar, ou dans la rue.
Bref, donnez-lui rendez-vous quelque part, prétendez ne pas bien vous connaître, que c'est un premier rendez-vous, coquin peut-être, voire même clandestin, et dites-lui vous d'entrée de jeu.
Jeu qui sera pour lui ou elle de conserver ce vouvoiement toute la soirée tout en éveillant la sensualité du partenaire.
Attouchements possible, mais à condition d'être discrets.
Perdra, celui qui dira tu le premier : il ou elle aura un gage.
Gagnera, celui qui saura excité l'autre tout en conservant le vous.
Que gagnera-t-il ?

Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

dimanche 1 février 2015

Amazon : problèmes, problèmes...

Suite à un problème de la part d'Amazon !
L'ancienne couverture est toujours en ligne !
Le texte est bel est bien celui qui a été remanié toutefois.
Ou du moins, c'est ce qu'Amazon m'a assuré !
Je les ai contactés pour protester et leur demander de mettre en ligne la nouvelle couverture : réponse, ils s'en occupent.
Désolé...
Téléchargez mon livre et contactez-moi pour que je vous envoie la nouvelle couverture ou téléchargez la depuis mon blog, ou patientez !
En espérant qu'ils solutionnent ce problème avant la fin de la promo !
Encore toutes mes excuses même si je n'y suis pour rien !

samedi 31 janvier 2015

Nouvelle couverture et deux jours de gratuité pour "Les délices d'Alice".

Dur, qu'il est dur (j'allai utiliser difficile, mais le sujet de ce blog étant l'érotisme...) de s'auto-publier !
Faut tout faire soi-même, d'le mot auto.
Correction, mise en page, blog, publicité, couverture, etc.
Plus trouver de l'argent pour payer le loyer entre autres choses...


Je viens de faire réaliser une magnifique couverture professionnelle par Melart sur la base d'une photo dont l'utilisation m'a gracieusement été offerte par le photographe
Jean-Christophe Destailleur., dont j'avais précédemment parlé en ce blog.


nouvelle couverture délices d'alice
Les délices d'Alice

Et, ai passé de longues heures à relire le texte afin de débusquer les (trop nombreuses) coquilles que j'avais laissées passer !
N'étant pas sûr qu'Amazon informera ceux qui ont téléchargé mon livre qu'une nouvelle version est disponible, j'ai décidé de le mettre en téléchargement gratuit pendant 2 jours à compter du 01/02 et donc jusqu'au 02/02/15.
Si vous l'avez déjà dans votre e-bibliothèque, re-téléchargez le S.V.P. afin d'avoir une version plus propre et avec une bien plus belle couverture.
Si vous ne l'aviez pas téléchargé, eh bien qu'attendez-vous ? Allez sur Amazon : téléchargez ce livre, lisez le, avertissez tous vos amis(e)s de cette aubaine et S.V.P laissez-moi un commentaire sur Amazon !
En vous en remerciant par avance,

Et en vous présentant mes excuses pour ces fautes que j'avais laissé passer ! (ceux qui écrivent comprendront, les doigts sont gourds et pas assez rapides pour suivre le rythme de la pensée ! Ensuite, vous relisez et relisez traquant le non-sens, les passages qui manquent d'harmonie, le style, pensez à l'ordre des chapitres, etc. et finissez par avoir le nez tellement près du mur que vous ne voyez plus tous les loups (loup : un défaut de construction, un vice caché) qui y dansent la sarabande sous votre nez).

Quant aux correcteurs orthographiques ! Mon dieu, les correcteurs orthographiques : vocabulaire limité, prévu pour un usage technique pas pour un usage littéraire, pas d'argot, de parler populaire, de phrasé imagé et vieillot, et encore quand ils ne vous induisent pas en erreur en vous proposant des corrections basées sur une mauvaise interprétation de votre texte.
Par exemple : plus haut, j'ai écrit mise en page, l'ordi me demande de le changer pour mise en pages, histoire de rire, je le fais : il m'enjoint alors de le changer de nouveau pour mise en page et ainsi de suite !

Et puis, je ne suis pas doué ! J'avais les meilleures notes en rédaction et systématiquement des points en moins pour l'orthographe et malgré cela toujours la meilleure note en rédaction, comme quoi !

Qui se porte volontaire pour me donner la fessée ? Tenue appropriée exigée...
En vous en remerciant, par avance (pas seulement pour la fessée !)
Érotiquement votre,

Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

mardi 27 janvier 2015

Les délices d'Alice chapitre 3

Chapitre 3

 
 
 
À son réveil, Alice était horrifiée, elle se sentait encore honteuse et même sale à l’idée de ce qu’elle avait fait. Ou plutôt de ce qu’elle avait été amenée à faire contre sa volonté. Ce devait être une maladie ou peut-être un coup de soleil. À moins que… Non ! Alice se refusait à l’idée que les imprécations de la créole puissent être à l’origine de ses actes, ou pour être exacte, de ses manques d’actes. Cela ne pouvait être ! Pas dans un monde rationnel. Et Dieu sait qu’Alice était cartésienne. Quoique croyante.
Et pourtant… Comment expliquer autrement ses agissements ? Comment comprendre autrement les évènements de la nuit passée ? Elle ne s’était certainement pas livrée à ces débauches de son plein gré. Pas elle ! Pas Alice ! Elle avait toujours été sérieuse. Elle n’avait rien d’une débauchée. Rien d’une femme qui se livre à la fornication avec le premier homme venu. Surtout si cet homme a au moins quarante ans de plus qu’elle ! Et si c’est un pervers ! Et Mr. Dodgson en était certainement un ! Et jamais, jamais elle n’aurait laissé un jeune homme inconnu la prendre comme ce jeune noir l’avait fait. Elle les avait laissé la lécher comme les chiens font ! La prendre, non la saillir comme une chatte en chaleur, et même la sodomiser ! Jamais Alice ne se serait livrée à de tels pêchés, à de tels blasphèmes ! Et il ne s’agissait pas de rêves ou plutôt de cauchemars. Non ! Son corps pouvait en témoigner, la chambre aussi !
L’air sentait les remugles du plaisir, et les draps étaient tâchés. Rien qu’à repenser à sa nuit, Alice se sentait troublée, mais dans le même temps, elle avait envie de pleurer ! Ce qui était normal. En revanche, l’étrange trouble qu’elle ressentait était, quant à lui, le signe qu’elle n’allait toujours pas bien. Elle devait de toute urgence aller voir un médecin. Et partir de cet hôtel, et même regagner son pays au plus tôt. Là-bas peut-être irait-elle mieux. Ou, à tout le moins pourrait-elle espérer un soutien moral et l’aide de la Faculté. Peut-être était-ce un trouble psychique ou bien, le climat, la nature où toute autre chose liée à ce lieu. Mais certainement pas un maléfice. La magie n’existant pas ! Elle n’aurait jamais dû venir ici seule pour soigner sa déprime, ce lieu ne lui convenait décidément pas. En fait, c’était peut-être cela. Une conséquence de cette langueur qui avait été la sienne ces derniers mois.
Mais en attendant, elle ne savait comment affronter le regard des autres clients de l’hôtel qui l’avaient peut-être entendu hurler sa jouissance pendant une bonne partie de la nuit, ou les femmes de ménage qui verraient le lit, et encore moins le jeune serveur ou l’horrible Mr Dodgson. Elle se mit à pleurer au désespoir.
Le téléphone sonna, elle n’en prit garde. Un quart d’heure plus tard, il sonna de nouveau, cette fois, elle répondit d’une petite voix. C’était la propriétaire de l’hôtel qui souhaitait savoir s’il était possible de lui livrer son petit-déjeuner et de nettoyer sa chambre. Elle répondit qu’elle n’avait pas faim, ni besoin de ménage, et désirait l’adresse d’un médecin, mais que non rien de grave, seulement, il allait falloir qu’elle écourte son séjour. La propriétaire, fort gentiment, lui dit qu’elle allait lui chercher cette adresse, et l’invita à venir la voir pour ce départ anticipé.
Finalement quelques minutes plus tard la propriétaire frappa à la porte. D’abord désirant rester seule, Alice préféra ne pas répondre. Mais la propriétaire su trouver les mots qu’il fallait, aussi Alice se leva-t-elle. Elle mit une sortie-de-bain, et vint ouvrir, à la propriétaire qui entra et referma la porte derrière elle. Voyant le visage de la demoiselle, elle s’attrista, et sans rien dire la prit dans ses bras. Alice, voyant cela eut d’abord un mouvement de recul, puis finalement voyant cette femme maternelle d'une quarantaine d’années lui ouvrir les bras avec visiblement un émoi sincère, elle s’y blottit.
La femme la serra tout contre son imposante poitrine, et la berça un moment, sans rien dire d’autre que :
« Oh mon petit ! Voyons mon tout petit ! On a du chagrin ! »
Ce qui fit pleurer de nouveau Alice.
« On a un gros chagrin ? Un chagrin d’amour ?
Non ! Pas ça ! Surtout pas ça !
Mais pourquoi ? Moi à votre âge… surtout si j’avais été aussi belle.
Ce n’est pas un chagrin d’amour, ce… cela n’a rien à voir !
Vraiment ? » Lui demanda-t-elle en lui redressant le menton.
« Oui ! Je déteste les hommes, ce sont des pervers, ils ne pensent qu’à… qu’au… des pervers !
Si seulement… Ne put-elle s’empêcher de soupirer. Ça c’est ce que l’on pense à votre âge… au mien, on regrette les occasions ratées !
Mais… non ! Je ne veux pas ! Je ne suis pas une… un animal… Le sexe n’est… c’est… ce n’est pas… je n’aime pas ça !
Vraiment ?! », lui demanda-t-elle goguenarde. « Ce n’est pourtant pas ce que j’avais cru entendre. Si seulement mon mari n’avait pas le sommeil si lourd, et s’il était plus jeune ou en meilleure santé… Vous m’avez empêchée de dormir mon enfant.
Je… ne… ce n’est pas moi ! C’est… » Elle se remit à pleurnicher se cachant le visage dans ses mains.
Riant : « mais voyons, il ne faut pas pleurer, il n’y a rien de mal, moi-même il n'y a encore pas si longtemps… Dès que j’en ai l’occasion, en fait… Il n’y a rien de mal à cela… Hum ! Vous m’entendez ? Regardez-moi…
Non. »
Elle lui prit de nouveau le menton entre ses doigts et le lui redressa, en souriant. Elle l’approcha d’elle et se penchant légèrement lui déposa un baiser sur le front. Ce qui fit frissonner Alice, qui à sa grande frayeur se sentit trempée et frissonnante à ce contact. Toujours souriante, la femme la regarda gentiment, s’apercevant du trouble d’Alice, elle la scruta elle-même troublée.
« Vos yeux sont tout vagues… », lui dit-elle en lui caressant gentiment la joue. « Vous ne dites rien ? Seriez-vous donc encore excitée ? Par moi ? » Elle était visiblement amusée à cette idée.
« Non… » Parvint à dire Alice d’une toute petite voix.
« Non ? Alors pourquoi vos yeux sont-ils voilés ? Pourquoi vos lèvres entrouvertes, et votre respiration haletante ? Hum ? Pourquoi ? » Elle approcha ses lèvres à frôler celles d’Alice, toujours lui caressant levisage.
« Je… non, ce n’est rien », balbutia Alice. « C’est… la fatigue.
Oh ! Le vilain mensonge ! Mais c’est que l’on est une vilaine fille. L’on risque d’avoir le petit nez qui s’allonge. » Dit-elle en ouvrant son peignoir à Alice. « Oh ! Menteuse ! On a les seins tout durs !  Et voyez ce joli petit clitoris qui pointe son nez, et cette petite chatte toute humide ! Mais on a envie de maman Black ? Hum ! » Lui susurra-t-elle à l’oreille tout en entreprenant de la branler. « On n’est une petite cochonne, une petite lesbienne… hum… on cache bien son jeu ! »
Alice commençait à nouveau à haleter. Encore une fois le plaisir s’imposait à elle. Elle était en train de se faire tripoter par une personne dont elle n’avait aucune envie et de se laisser faire des choses pour lesquelles elle n’avait aucun goût. Mais, elle ne pouvait rien faire d’autre que : haleter, jouir, se laisser aller au bon vouloir de l’autre et… avoir honte.
« Cela fait des années que je n’ai pas fait l’amour avec une aussi belle jeune femme, vous pourriez être ma fille. Vous êtes si belle, si jeune, ce serait dommage de laisser passer une telle occasion. Non ? Et puis, je ne peux pas vous laisser dans un tel état. Sans compter que vous avez passé la nuit à m’exciter. »
Elle la pénétra de deux doigts dans le vagin, ce qui fit crier de plus belle Alice.
« Mais c’est qu’elle jouit, oh la vilaine menteuse ! »
Voyant la pauvre Alice éperdue de plaisir, sur le point de se pâmer, incapable de rester plus longtemps debout Mme Black lui soutint les fesses de son autre main. La gardant collée contre elle, elle continua de la branler ainsi l’amenant d’orgasme en orgasme tout en lui caressant son doux et ferme petit cul.
« Et par-là, est-ce que l’on aime ?
Non ! Non, pitié…
Oh ! Mais si on aime ! Vilaine ! Vilaine menteuse ! Regardez comme mon doigt vous encule sans problème, je peux même vous en mettre deux. Et en plus on en jouit ! Ah ! Cette fois c’est trop petite demoiselle ! Trop de mensonges ! »
Elle la prit et toujours la caressant la déposa sur le lit. Elle se déshabilla elle-même, découvrant un corps quelque peu arrondi de blonde couverte de grain de sons, aux seins gros, mais encore assez fermes. Elle s’assit sur le lit, puis prit Alice et la mit sur ses genoux, et lui mit une claque sur les fesses. Ce qui la fit crier.
« Voilà comment on soigne les vilaines petites menteuses ! »
Elle lui redonna une autre tape : « Comptez vilaine ! Comptez ! »
« Mais… aïe ! Aïe ! Arrêtez ! Arrêtez ! »
« Comptez vilaine fille !
Aïe !
Où cela n’aura de fin.
Aïe ! Ouille ! Un, ouille ! Deux…»
Et ainsi, elle la fit compter jusqu’à dix n’arrêtant que là sa fessée. Alice, avait le derrière qui lui cuisait. Mme Black, la fit se relever et toujours assise la toisa.
« Alors sommes-nous toujours une vilaine fille ?
Non… », dit Alice d’une petite voix pleurnicharde.
« Comment ?
Non !
Bien ! » Elle lui sourit et lui caressa le visage. « On ne dira plus que l’on n’est pas excitée quand ce n’est pas vrai où l’on sera punie. »
Elle posa sa main sur l’épaule d’Alice, et la fit s’agenouiller à ses pieds.
« Bien, gentille petite. Maintenant, il faut apaiser Mme Black. Que l’on a excitée. » 
Alice ouvrit la bouche, mais ne sut quoi dire. A son grand effroi, elle vit Mme Black, toujours souriante, écarter les cuisses, et une fois celle-ci grande écartées lui désigner d’une main son large sexe cramoisi d’excitation. Il était aussi trempé qu’un marécage ! Et elle avait un gros bouton tout érigé.
Alice fit non de la tête, n’arrivant pas à réagir, elle ne pouvait détacher son regard de cette béance. Une des mains de Mme Black se posa sur sa tête ce qui fit frissonner Alice, pendant que l’autre écartait encore plus le sexe ainsi offert à son regard. Ne pouvant résister Alice se retrouva à quatre pattes à effleurer et respirer ce sexe de femme. Son souffle la caressait et l’émouvait visiblement. Alice, malgré elle ( ?) ne pouvait détacher son regard des plis, replis et du trou de ce con, tant et si bien qu’elle en louchait. Elle en admirait tous les dessins et mystères que jamais elle n’avait vu. N’ayant même jamais vue le sien.
« Oh ! Oui regarde, regarde bien, regarde comme je m’ouvre pour toi, regarde comme je me branle, regarde comme je fais, une main dans le con, l’autre sur le bouton… » Alice regarda, trempée et excitée elle-même par mimétisme, puis se rendit compte que Mme Black ne la tenait plus, ne sachant que faire, elle commençait à se relever hésitante devait-elle fuir, et en ce cas où aller ? Elle était sur le point de se décider lorsque la femme cessa de se branler et lui saisit le visage, de ses doigts poisseux de mouille, pour le presser contre son sexe affamé. Alice se sentit aussitôt perdre de nouveau le contrôle d’elle-même, Mme Black, lui tenait le visage se frottant la chatte contre lui. Puis elle s’arrêta et lui demanda d’une voix rauque de la lécher, en lui poussant le visage tout contre sa vulve. Alice ne put qu’obéir, d’abord timidement puis de plus en plus excitée. Elle lui lapa le con, buvant à petit coup de langue sa cyprine. Avalant le liquide marin. Puis, elle la mordilla, tirant et étirant dans sa bouche les grandes et petites lèvres de la femme. Ce qui la fit roucouler. Ensuite perdant la tête à avoir ainsi le nez et la bouche dans la chatte de cette femme. Elle la mordit puis la lécha, puis mordilla et lécha de nouveau tel un petit chat, puis la lapa partout ou sa petite langue pouvait, et aussi profond que possible, dans la mesure ou les mouvements de la femme prise dans l’orgasme le lui permettaient. Pour finir, elle se mit à lui caresser son gros clitoris quand il finit par réapparaître ce qui acheva de la faire hurler de plaisir. Elle se cabra puis s’affala en criant silencieusement son bonheur. Alice toujours contre son sexe continuait de la laper, nettoyant toutes traces de jus de femme. Ce qui fit de nouveau trembler Mme Black, qui recommença à gémir.
Elle se releva sur un coude et tenta d’éloigner Alice de ce sexe qu’elle ne voulait cesser de gougnotter. Riant à demi, Mme Black, finit par relever une Alice échevelée et excitée. Elle l’attira à elle et l’embrassa à pleine bouche, jouant de sa langue, puis lui caressa et embrassa ses jeunes seins durs d’excitation. Ensuite, elle la coucha sur le lit sur le côté tête-bêche et entreprit de lécher le sexe brun de la jeune fille, dont la toison était trempée de mouille. Alice jouit rapidement puis se remettant tout aussi rapidement entreprit de nouveau le sexe de la tribade. Elles se mignotèrent ainsi longuement, se branlèrent, léchèrent, caressèrent, la moindre partie du corps, le moindre centimètre carré de peau. Le moindre orifice fut exploré et caressé jusqu’à plus soif. Et c’est repue que Mme Black épuisée arrêta une Alice affamée.
« Eh bien ! Mon jeune chat… non, arrête ! Pitié ! Je n’ai plus vingt ans moi… ah ! Heureusement que tu n’es pas une cochonne, et que tu n’aimes pas le sexe ! Sinon j’y laisserai la peau ! Il y a longtemps que l’on ne m’avait fait reluire ainsi, mon chaton. » Lui dit-elle tendrement en l’embrassant. « Chut ! Calme-toi mon chat… viens. »
Elle la prit par la main et la conduisit dans la salle de bains, où elle fit sa toilette et celle d’Alice. Ensuite, elle fit couler un bain avec des sels, et elles s’allongèrent tendrement enlacées dans la grande baignoire. Alice ne tarda pas à s’endormir un tétin érigé de Mme Black dans la bouche.
« Eh bien ! Il va falloir du renfort si je veux espérer vous calmer jeune demoiselle. Chut ! Repose-toi ma chérie dors ! Je m’occupe de tout n’aies pas peur… Mme Black veille… »


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Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice