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samedi 31 janvier 2015

Nouvelle couverture et deux jours de gratuité pour "Les délices d'Alice".

Dur, qu'il est dur (j'allai utiliser difficile, mais le sujet de ce blog étant l'érotisme...) de s'auto-publier !
Faut tout faire soi-même, d'le mot auto.
Correction, mise en page, blog, publicité, couverture, etc.
Plus trouver de l'argent pour payer le loyer entre autres choses...


Je viens de faire réaliser une magnifique couverture professionnelle par Melart sur la base d'une photo dont l'utilisation m'a gracieusement été offerte par le photographe
Jean-Christophe Destailleur., dont j'avais précédemment parlé en ce blog.


nouvelle couverture délices d'alice
Les délices d'Alice

Et, ai passé de longues heures à relire le texte afin de débusquer les (trop nombreuses) coquilles que j'avais laissées passer !
N'étant pas sûr qu'Amazon informera ceux qui ont téléchargé mon livre qu'une nouvelle version est disponible, j'ai décidé de le mettre en téléchargement gratuit pendant 2 jours à compter du 01/02 et donc jusqu'au 02/02/15.
Si vous l'avez déjà dans votre e-bibliothèque, re-téléchargez le S.V.P. afin d'avoir une version plus propre et avec une bien plus belle couverture.
Si vous ne l'aviez pas téléchargé, eh bien qu'attendez-vous ? Allez sur Amazon : téléchargez ce livre, lisez le, avertissez tous vos amis(e)s de cette aubaine et S.V.P laissez-moi un commentaire sur Amazon !
En vous en remerciant par avance,

Et en vous présentant mes excuses pour ces fautes que j'avais laissé passer ! (ceux qui écrivent comprendront, les doigts sont gourds et pas assez rapides pour suivre le rythme de la pensée ! Ensuite, vous relisez et relisez traquant le non-sens, les passages qui manquent d'harmonie, le style, pensez à l'ordre des chapitres, etc. et finissez par avoir le nez tellement près du mur que vous ne voyez plus tous les loups (loup : un défaut de construction, un vice caché) qui y dansent la sarabande sous votre nez).

Quant aux correcteurs orthographiques ! Mon dieu, les correcteurs orthographiques : vocabulaire limité, prévu pour un usage technique pas pour un usage littéraire, pas d'argot, de parler populaire, de phrasé imagé et vieillot, et encore quand ils ne vous induisent pas en erreur en vous proposant des corrections basées sur une mauvaise interprétation de votre texte.
Par exemple : plus haut, j'ai écrit mise en page, l'ordi me demande de le changer pour mise en pages, histoire de rire, je le fais : il m'enjoint alors de le changer de nouveau pour mise en page et ainsi de suite !

Et puis, je ne suis pas doué ! J'avais les meilleures notes en rédaction et systématiquement des points en moins pour l'orthographe et malgré cela toujours la meilleure note en rédaction, comme quoi !

Qui se porte volontaire pour me donner la fessée ? Tenue appropriée exigée...
En vous en remerciant, par avance (pas seulement pour la fessée !)
Érotiquement votre,

Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

mardi 27 janvier 2015

Les délices d'Alice chapitre 3

Chapitre 3

 
 
 
À son réveil, Alice était horrifiée, elle se sentait encore honteuse et même sale à l’idée de ce qu’elle avait fait. Ou plutôt de ce qu’elle avait été amenée à faire contre sa volonté. Ce devait être une maladie ou peut-être un coup de soleil. À moins que… Non ! Alice se refusait à l’idée que les imprécations de la créole puissent être à l’origine de ses actes, ou pour être exacte, de ses manques d’actes. Cela ne pouvait être ! Pas dans un monde rationnel. Et Dieu sait qu’Alice était cartésienne. Quoique croyante.
Et pourtant… Comment expliquer autrement ses agissements ? Comment comprendre autrement les évènements de la nuit passée ? Elle ne s’était certainement pas livrée à ces débauches de son plein gré. Pas elle ! Pas Alice ! Elle avait toujours été sérieuse. Elle n’avait rien d’une débauchée. Rien d’une femme qui se livre à la fornication avec le premier homme venu. Surtout si cet homme a au moins quarante ans de plus qu’elle ! Et si c’est un pervers ! Et Mr. Dodgson en était certainement un ! Et jamais, jamais elle n’aurait laissé un jeune homme inconnu la prendre comme ce jeune noir l’avait fait. Elle les avait laissé la lécher comme les chiens font ! La prendre, non la saillir comme une chatte en chaleur, et même la sodomiser ! Jamais Alice ne se serait livrée à de tels pêchés, à de tels blasphèmes ! Et il ne s’agissait pas de rêves ou plutôt de cauchemars. Non ! Son corps pouvait en témoigner, la chambre aussi !
L’air sentait les remugles du plaisir, et les draps étaient tâchés. Rien qu’à repenser à sa nuit, Alice se sentait troublée, mais dans le même temps, elle avait envie de pleurer ! Ce qui était normal. En revanche, l’étrange trouble qu’elle ressentait était, quant à lui, le signe qu’elle n’allait toujours pas bien. Elle devait de toute urgence aller voir un médecin. Et partir de cet hôtel, et même regagner son pays au plus tôt. Là-bas peut-être irait-elle mieux. Ou, à tout le moins pourrait-elle espérer un soutien moral et l’aide de la Faculté. Peut-être était-ce un trouble psychique ou bien, le climat, la nature où toute autre chose liée à ce lieu. Mais certainement pas un maléfice. La magie n’existant pas ! Elle n’aurait jamais dû venir ici seule pour soigner sa déprime, ce lieu ne lui convenait décidément pas. En fait, c’était peut-être cela. Une conséquence de cette langueur qui avait été la sienne ces derniers mois.
Mais en attendant, elle ne savait comment affronter le regard des autres clients de l’hôtel qui l’avaient peut-être entendu hurler sa jouissance pendant une bonne partie de la nuit, ou les femmes de ménage qui verraient le lit, et encore moins le jeune serveur ou l’horrible Mr Dodgson. Elle se mit à pleurer au désespoir.
Le téléphone sonna, elle n’en prit garde. Un quart d’heure plus tard, il sonna de nouveau, cette fois, elle répondit d’une petite voix. C’était la propriétaire de l’hôtel qui souhaitait savoir s’il était possible de lui livrer son petit-déjeuner et de nettoyer sa chambre. Elle répondit qu’elle n’avait pas faim, ni besoin de ménage, et désirait l’adresse d’un médecin, mais que non rien de grave, seulement, il allait falloir qu’elle écourte son séjour. La propriétaire, fort gentiment, lui dit qu’elle allait lui chercher cette adresse, et l’invita à venir la voir pour ce départ anticipé.
Finalement quelques minutes plus tard la propriétaire frappa à la porte. D’abord désirant rester seule, Alice préféra ne pas répondre. Mais la propriétaire su trouver les mots qu’il fallait, aussi Alice se leva-t-elle. Elle mit une sortie-de-bain, et vint ouvrir, à la propriétaire qui entra et referma la porte derrière elle. Voyant le visage de la demoiselle, elle s’attrista, et sans rien dire la prit dans ses bras. Alice, voyant cela eut d’abord un mouvement de recul, puis finalement voyant cette femme maternelle d'une quarantaine d’années lui ouvrir les bras avec visiblement un émoi sincère, elle s’y blottit.
La femme la serra tout contre son imposante poitrine, et la berça un moment, sans rien dire d’autre que :
« Oh mon petit ! Voyons mon tout petit ! On a du chagrin ! »
Ce qui fit pleurer de nouveau Alice.
« On a un gros chagrin ? Un chagrin d’amour ?
Non ! Pas ça ! Surtout pas ça !
Mais pourquoi ? Moi à votre âge… surtout si j’avais été aussi belle.
Ce n’est pas un chagrin d’amour, ce… cela n’a rien à voir !
Vraiment ? » Lui demanda-t-elle en lui redressant le menton.
« Oui ! Je déteste les hommes, ce sont des pervers, ils ne pensent qu’à… qu’au… des pervers !
Si seulement… Ne put-elle s’empêcher de soupirer. Ça c’est ce que l’on pense à votre âge… au mien, on regrette les occasions ratées !
Mais… non ! Je ne veux pas ! Je ne suis pas une… un animal… Le sexe n’est… c’est… ce n’est pas… je n’aime pas ça !
Vraiment ?! », lui demanda-t-elle goguenarde. « Ce n’est pourtant pas ce que j’avais cru entendre. Si seulement mon mari n’avait pas le sommeil si lourd, et s’il était plus jeune ou en meilleure santé… Vous m’avez empêchée de dormir mon enfant.
Je… ne… ce n’est pas moi ! C’est… » Elle se remit à pleurnicher se cachant le visage dans ses mains.
Riant : « mais voyons, il ne faut pas pleurer, il n’y a rien de mal, moi-même il n'y a encore pas si longtemps… Dès que j’en ai l’occasion, en fait… Il n’y a rien de mal à cela… Hum ! Vous m’entendez ? Regardez-moi…
Non. »
Elle lui prit de nouveau le menton entre ses doigts et le lui redressa, en souriant. Elle l’approcha d’elle et se penchant légèrement lui déposa un baiser sur le front. Ce qui fit frissonner Alice, qui à sa grande frayeur se sentit trempée et frissonnante à ce contact. Toujours souriante, la femme la regarda gentiment, s’apercevant du trouble d’Alice, elle la scruta elle-même troublée.
« Vos yeux sont tout vagues… », lui dit-elle en lui caressant gentiment la joue. « Vous ne dites rien ? Seriez-vous donc encore excitée ? Par moi ? » Elle était visiblement amusée à cette idée.
« Non… » Parvint à dire Alice d’une toute petite voix.
« Non ? Alors pourquoi vos yeux sont-ils voilés ? Pourquoi vos lèvres entrouvertes, et votre respiration haletante ? Hum ? Pourquoi ? » Elle approcha ses lèvres à frôler celles d’Alice, toujours lui caressant levisage.
« Je… non, ce n’est rien », balbutia Alice. « C’est… la fatigue.
Oh ! Le vilain mensonge ! Mais c’est que l’on est une vilaine fille. L’on risque d’avoir le petit nez qui s’allonge. » Dit-elle en ouvrant son peignoir à Alice. « Oh ! Menteuse ! On a les seins tout durs !  Et voyez ce joli petit clitoris qui pointe son nez, et cette petite chatte toute humide ! Mais on a envie de maman Black ? Hum ! » Lui susurra-t-elle à l’oreille tout en entreprenant de la branler. « On n’est une petite cochonne, une petite lesbienne… hum… on cache bien son jeu ! »
Alice commençait à nouveau à haleter. Encore une fois le plaisir s’imposait à elle. Elle était en train de se faire tripoter par une personne dont elle n’avait aucune envie et de se laisser faire des choses pour lesquelles elle n’avait aucun goût. Mais, elle ne pouvait rien faire d’autre que : haleter, jouir, se laisser aller au bon vouloir de l’autre et… avoir honte.
« Cela fait des années que je n’ai pas fait l’amour avec une aussi belle jeune femme, vous pourriez être ma fille. Vous êtes si belle, si jeune, ce serait dommage de laisser passer une telle occasion. Non ? Et puis, je ne peux pas vous laisser dans un tel état. Sans compter que vous avez passé la nuit à m’exciter. »
Elle la pénétra de deux doigts dans le vagin, ce qui fit crier de plus belle Alice.
« Mais c’est qu’elle jouit, oh la vilaine menteuse ! »
Voyant la pauvre Alice éperdue de plaisir, sur le point de se pâmer, incapable de rester plus longtemps debout Mme Black lui soutint les fesses de son autre main. La gardant collée contre elle, elle continua de la branler ainsi l’amenant d’orgasme en orgasme tout en lui caressant son doux et ferme petit cul.
« Et par-là, est-ce que l’on aime ?
Non ! Non, pitié…
Oh ! Mais si on aime ! Vilaine ! Vilaine menteuse ! Regardez comme mon doigt vous encule sans problème, je peux même vous en mettre deux. Et en plus on en jouit ! Ah ! Cette fois c’est trop petite demoiselle ! Trop de mensonges ! »
Elle la prit et toujours la caressant la déposa sur le lit. Elle se déshabilla elle-même, découvrant un corps quelque peu arrondi de blonde couverte de grain de sons, aux seins gros, mais encore assez fermes. Elle s’assit sur le lit, puis prit Alice et la mit sur ses genoux, et lui mit une claque sur les fesses. Ce qui la fit crier.
« Voilà comment on soigne les vilaines petites menteuses ! »
Elle lui redonna une autre tape : « Comptez vilaine ! Comptez ! »
« Mais… aïe ! Aïe ! Arrêtez ! Arrêtez ! »
« Comptez vilaine fille !
Aïe !
Où cela n’aura de fin.
Aïe ! Ouille ! Un, ouille ! Deux…»
Et ainsi, elle la fit compter jusqu’à dix n’arrêtant que là sa fessée. Alice, avait le derrière qui lui cuisait. Mme Black, la fit se relever et toujours assise la toisa.
« Alors sommes-nous toujours une vilaine fille ?
Non… », dit Alice d’une petite voix pleurnicharde.
« Comment ?
Non !
Bien ! » Elle lui sourit et lui caressa le visage. « On ne dira plus que l’on n’est pas excitée quand ce n’est pas vrai où l’on sera punie. »
Elle posa sa main sur l’épaule d’Alice, et la fit s’agenouiller à ses pieds.
« Bien, gentille petite. Maintenant, il faut apaiser Mme Black. Que l’on a excitée. » 
Alice ouvrit la bouche, mais ne sut quoi dire. A son grand effroi, elle vit Mme Black, toujours souriante, écarter les cuisses, et une fois celle-ci grande écartées lui désigner d’une main son large sexe cramoisi d’excitation. Il était aussi trempé qu’un marécage ! Et elle avait un gros bouton tout érigé.
Alice fit non de la tête, n’arrivant pas à réagir, elle ne pouvait détacher son regard de cette béance. Une des mains de Mme Black se posa sur sa tête ce qui fit frissonner Alice, pendant que l’autre écartait encore plus le sexe ainsi offert à son regard. Ne pouvant résister Alice se retrouva à quatre pattes à effleurer et respirer ce sexe de femme. Son souffle la caressait et l’émouvait visiblement. Alice, malgré elle ( ?) ne pouvait détacher son regard des plis, replis et du trou de ce con, tant et si bien qu’elle en louchait. Elle en admirait tous les dessins et mystères que jamais elle n’avait vu. N’ayant même jamais vue le sien.
« Oh ! Oui regarde, regarde bien, regarde comme je m’ouvre pour toi, regarde comme je me branle, regarde comme je fais, une main dans le con, l’autre sur le bouton… » Alice regarda, trempée et excitée elle-même par mimétisme, puis se rendit compte que Mme Black ne la tenait plus, ne sachant que faire, elle commençait à se relever hésitante devait-elle fuir, et en ce cas où aller ? Elle était sur le point de se décider lorsque la femme cessa de se branler et lui saisit le visage, de ses doigts poisseux de mouille, pour le presser contre son sexe affamé. Alice se sentit aussitôt perdre de nouveau le contrôle d’elle-même, Mme Black, lui tenait le visage se frottant la chatte contre lui. Puis elle s’arrêta et lui demanda d’une voix rauque de la lécher, en lui poussant le visage tout contre sa vulve. Alice ne put qu’obéir, d’abord timidement puis de plus en plus excitée. Elle lui lapa le con, buvant à petit coup de langue sa cyprine. Avalant le liquide marin. Puis, elle la mordilla, tirant et étirant dans sa bouche les grandes et petites lèvres de la femme. Ce qui la fit roucouler. Ensuite perdant la tête à avoir ainsi le nez et la bouche dans la chatte de cette femme. Elle la mordit puis la lécha, puis mordilla et lécha de nouveau tel un petit chat, puis la lapa partout ou sa petite langue pouvait, et aussi profond que possible, dans la mesure ou les mouvements de la femme prise dans l’orgasme le lui permettaient. Pour finir, elle se mit à lui caresser son gros clitoris quand il finit par réapparaître ce qui acheva de la faire hurler de plaisir. Elle se cabra puis s’affala en criant silencieusement son bonheur. Alice toujours contre son sexe continuait de la laper, nettoyant toutes traces de jus de femme. Ce qui fit de nouveau trembler Mme Black, qui recommença à gémir.
Elle se releva sur un coude et tenta d’éloigner Alice de ce sexe qu’elle ne voulait cesser de gougnotter. Riant à demi, Mme Black, finit par relever une Alice échevelée et excitée. Elle l’attira à elle et l’embrassa à pleine bouche, jouant de sa langue, puis lui caressa et embrassa ses jeunes seins durs d’excitation. Ensuite, elle la coucha sur le lit sur le côté tête-bêche et entreprit de lécher le sexe brun de la jeune fille, dont la toison était trempée de mouille. Alice jouit rapidement puis se remettant tout aussi rapidement entreprit de nouveau le sexe de la tribade. Elles se mignotèrent ainsi longuement, se branlèrent, léchèrent, caressèrent, la moindre partie du corps, le moindre centimètre carré de peau. Le moindre orifice fut exploré et caressé jusqu’à plus soif. Et c’est repue que Mme Black épuisée arrêta une Alice affamée.
« Eh bien ! Mon jeune chat… non, arrête ! Pitié ! Je n’ai plus vingt ans moi… ah ! Heureusement que tu n’es pas une cochonne, et que tu n’aimes pas le sexe ! Sinon j’y laisserai la peau ! Il y a longtemps que l’on ne m’avait fait reluire ainsi, mon chaton. » Lui dit-elle tendrement en l’embrassant. « Chut ! Calme-toi mon chat… viens. »
Elle la prit par la main et la conduisit dans la salle de bains, où elle fit sa toilette et celle d’Alice. Ensuite, elle fit couler un bain avec des sels, et elles s’allongèrent tendrement enlacées dans la grande baignoire. Alice ne tarda pas à s’endormir un tétin érigé de Mme Black dans la bouche.
« Eh bien ! Il va falloir du renfort si je veux espérer vous calmer jeune demoiselle. Chut ! Repose-toi ma chérie dors ! Je m’occupe de tout n’aies pas peur… Mme Black veille… »


Pour lire le : premier chapitre.

Pour lire le : deuxième chapitre.

Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

lundi 26 janvier 2015

La fracture du pénis, mythe ou réalité ?

Cet article a été écrit par l'écrivain Kate Satani sur sa page Facebook.

Kate Satani Ecrivain  January 12 ·
Les fractures du pénis, plus fréquentes dans certaines "positions"
Des chercheurs ont étudié les facteurs de risque de la fracture du pénis, un épisode hautement douloureux qui survient le plus souvent lors d'ébats amoureux. Ils ont déterminés les positions les plus "périlleuses".
Une fracture du pénis ? C'est possible ? Eh bien oui. Bien que le pénis soit un organe au corps spongieux et ne comporte pas d'os, on parle bien - par abus de langage - de fracture du pénis. Il s'agit en fait du déchirement de ce corps caverneux qui peut survenir lorsque la verge est sous tension et subit une torsion brutale. Le plus souvent lors d'ébats "animés" dans certaines positions "risquées"... Un craquement se fait entendre qui donne rapidement lieu à un hématome important. Inutile de préciser que c'est un épisode réputé extrêmement douloureux.
En la matière, certaines positions sexuelles sont plus périlleuses que d'autres. C'est justement ce qui a été étudié par des chercheurs brésiliens qui publient leurs travaux dans la revue Advances in Urology. Après avoir étudié les données récoltées durant 13 ans de patients admis aux urgences de Campaninas (Brésil) pour des fractures du pénis, les chercheurs en sont arrivés à la conclusion que c'est lorsque la femme se place au-dessus de l’homme que celui-ci prend le plus de risque.
50% des fractures du pénis seraient ainsi dues à la position de l’Andromaque (voir ci-contre), contre 29% pour la levrette et 21% pour le missionnaire. Un résultat d'autant plus significatif qu'on peut supposer que l'Andromaque est en général moins pratiquée que les deux autres.
"Notre hypothèse est que lorsque la femme est au-dessus, c’est elle qui contrôle les mouvements avec tout le poids de son corps qui repose sur le pénis en érection, expliquent les chercheurs. Or, lorsque le pénis souffre d'une mauvaise position, la femme n'interrompt pas le mouvement car pour elle la douleur est minime tandis qu'elle est très douloureuse pour l'homme." Il convient donc de rester relativement prudent dans ces situations selon eux.
Lorsqu'elle survient, la fracture du pénis doit être prise en charge le plus rapidement possible. Selon la gravité, une intervention chirurgicale peut être nécessaire afin de résoudre les lésions. Sinon, un traitement médicamenteux seul peut être envisagé. Dans tous les cas l'érection doit être évitée durant une période plus ou moins longue. Pour éviter ces érections "intempestives", le patient devra prendre un traitement à base de benzodiazépine ou un traitement hormonal.

Voici ma réponse ou du moins ma pierre apportée à l'édifice de la connaissance érotique (suis en train de me marrer en écrivant cette ligne) :

La fracture du pénis mythe ou réalité ?
Vrai, définitivement vrai.
Je ne me suis jamais fracturé mon petit instrument (je fais ici référence à la chanson de Bourvil, "je joue de la mandoline"), et heureusement !
Mais, il s'en est parfois fallu de peu.
On ne dira jamais assez le côté héroïque du métier d'amant (j'entend par amant : celui qui aime les femmes et leur fait l'amour).

femme chevauchant homme
 
Alors pourquoi est-ce que cela arrive ? Dans quel genre de circonstance ? Et comment l'éviter ?

Cela arrive tout simplement principalement lorsque le membre de l'homme est plus long que le conin de la belle, ou lorsqu'à grand coups de reins l'amant en entre et sort à un rythme endiablé.
Car plus grande est la partie du chibre qui ne trouve hébergement en ce magnifique antre chaud et humide plus grand sont les risques !

Pourquoi ?
Tout simplement parce que comme tout homme ayant eu l'heur de faire jouir sa belle a pu le remarquer les femmes sont expressive lors de la montée de leur plaisir !
Elles criollotent, geignent, feulent, hurlent, soupirent, s'expriment quoi ; vous promettent tout ce que vous voulez (profitez-en ! de toutes façons elles prétendront n'en avoir rien dit après coup, histoire de vous inciter à recommencer, alors faites-vous appelez dieu, le meilleur coup de la planète peu importe... et plus ce que vous leur demander de dire est outré plus il vous faudra travailler dur pour les convaincre de céder et de vous roucouler ces louanges ! Plaisir garantie) ; et surtout se tordent en tout sens !

Et là est le problème.
Plus elles se trémoussent plus grandes les chances de la fracture !
D'où le fait que c'est dans les positions dites de l'Amazone, de l'Ecuyère Anglaise (guère confortable, la monte se faisant les jambes sur l'un des côtés) et de la Parthe ou Amazone boudeuse (elle vous chevauche en vous montrant son postérieur), que le risque est le plus grand.

Ou lorsque jouant au fort des halles vous la portez au rythme de coups de reins endiablés d'un meuble à l'autre...
femme empalée sur homme

Donc soyez conscient du risque...
De toute façon faire jouir une femme est un sport à risque.
Risque de se faire assourdir et éjecter de l'appartement par les voisins énervés par les hurlements de la belle, risque de griffures et morsures, risque qu'elle nidifie en votre lit en lieu et place de, comme initialement prévu s'en aller car elle était censée avoir un rendez-vous et ne pas chercher de relation suivie, etc. et risque comme maintenant vous le savez :

de fracture du membre !

Alors mesdames soyez gentille avec ceux d'entre nous qui prenons sans vergogne de tels risques pour vous faire jouir.

Et messieurs, si le beau minou avec lequel vous avez l'heur de jouer ne vous serait totalement recevoir en son sein, que vous vouliez vous risquer à des positions plus rigolotes que celle dite du missionnaire ou que vous voyiez la belle commencer à connaître les affres de la jouissance... voici mon truc :

Saisissez-vous de la base de votre queue, car là est la partie fragile du membre et sans enlever votre main, ou à tout le moins quelques doigts :
"Hidee-Hidee-Hidee-hi
Hodee-hodee-hodee-ho
Heedey-hee-dee-hee-dee hee
Hidee-hidee-hidee-ho"
Chevauchez-là ou laissez-vous chevaucher jusqu'au plaisir en fredonnant "Minnie the Moocher" de Cab Calloway !

Pour lire un extrait de mon roman : "Les délices d'Alice".

couverture délices d'alice
  
Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

samedi 24 janvier 2015

Liste des mes billets érotiques

La fracture du pénis mythe ou réalité ?

Masturber ou être masturber ? là est la question..."

La masturbation un plaisir à partager

L'étoile de mer, ou ma réponse à l'article des Desculottées

Ôde à l'institutrice anonyme

L'érotisme en terre d'Islam

Cinquante nuances d'Alice

Dis-moi vous, ou le plaisir de voussoyer

Masturber ou être masturber ? là est la question...

Explorant au travers de mes expériences et de mes écrits, la sexualité et le corps féminin, je ne pouvais à un moment ou à un autre qu'aborder le corps féminin par l'angle de la masturbation...

D'où ma réaction au dernier billet de Mlle Desculottées sur son blog, billet nommé :
"Masturbation : nom féminin accordé au masculin".

Comme je l'ai précédemment écrit, je suis convaincu que si elle ne finit pas par, la liberté au féminin commence, par le clitoris.

femme se masturbant

C'est par la maîtrise de sa sexualité que la femme prend le contrôle et de sa vie et de son corps.
L'orgasme est la chrysalide qui libère le papillon féminin, et là est le problème sans doute !
Du moins aux yeux de certains.

La femme qui a goûté aux joies du sexe, en redemandera encore et encore.
Elle papillonnera, explorera et ne sera plus receveuse et passive, bonne épouse, maman de quinze enfants, travaillant pendant que monsieur se prélasse...
Non, elle demandera à explorer sa sexualité, ses fantasmes et à jouir.

Fini ses jeunes femmes Asiatiques (Européennes aussi, mais j'en ai d'avantage rencontré lorsque je vivais en Asie) qui non seulement ne se sont jamais caressées, mais n'ont jamais regardé leur minou en un miroir !

Fini toutes ces femmes qui sont persuadées que leur sexe est sale, n'en prennent guère soin, ne le voulant toucher ! Et se refusent aux joies du cunnilingus et de la masturbation, car c'est sale et dégradant !
Et j'en ai, hélas connu de telle !

Fini les femmes Juives, Chrétiennes, Musulmanes (et autres) qui toutes, écoutant bien sagement leurs prêtres respectifs, prient pour le salut de leur âme, se marient vierge, jamais ne se touchent, font l'amour bien sagement en vue de procréation uniquement ! Tout autre usage des parties génitales étant vue par la quasi-totalité des religions comme pêché ! et les femmes comme impures.

Fini le moteur à bananes qui défriche, porte les charges, pile les ignames, prépare les repas, élève les enfants pendant que monsieur se prélasse attendant que ses ou son épouse(s) ai(en)t fini de travailler.

Ce qui est hélas la raison pour laquelle, dans certaines sociétés traditionnelles (pas toutes mais beaucoup trop tout de même ! (une serait déjà de trop ceci dit)) les femmes sont ou étaient mutilées !

Voir ces articles sur ce sujet : Wikipédia et l'Académie de médecine.
Ainsi que le blog Crepe Georgette qui fait un point sur les pays et peuples qui pratiquent encore les mutilations sexuelles sur les femmes.
Et, pour finir cet état des lieux morbide le ministère de la santé et du droit des femmes, sur le même sujet.



 excision afrique
Excision d'une jeune femme dans l'Oubangui-Chari au début du XXe siècle

Mais, et les petits garçons alors ?
N'oublions pas que jusqu'au début du 20°S il était recommandé par l'Église et les hygiénistes d'attacher les petits garçons la nuit pour qu'ils ne se masturbent pas ! La masturbation étant le plus sûr chemin vers l'Enfer.
À preuve : Onan qui fut condamné par Dieu pour avoir répandu sa semence si précieuse à Ses yeux qu'il en suit apparemment, le petit pervers, la moindre goutte, condamnant ceux qui en feraient mauvais usage.
À ce compte, au vu du nombre de fois ou je me suis branlé dans ma vie, ayant commencé fort tôt ! une cellule spéciale doit dores et déjà m'être réservé en Enfer, chambre tout inconfort avec chauffage central intégré !

Voici quelques exemples d'appareils de tortures inventés aux fins d'empêcher la branlette.


ceinture de chasteté
Ceinture de chastetée



tenue nocturne anti masturbation
Spermatic truss 1905



ceinture chasteté garçon
Appareil de chasteté pour garçons époque Victorienne

Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice
ceinture chasteté garçon et fille
Appareil de chasteté pour garçons et filles, époque Victorienne



Mais pour en revenir à cette masturbation honnie s'il en est.

Un, les garçons n'y avaient pas plus droit que les filles Mlle Desculottées.
Deux, il y a toujours un tabou concernant icelle-ci. L'on en parle peu.

Alors qu'elle peut-être pour le petit garçon tout comme la petite fille un moment d'auto-exploration, permettant de découvrir le plaisir et en donner soif.
Et, pour la gente masculine un excellent moyen de travailler son endurance, d'apprendre à se contrôler et à augmenter les sensations en vue de partager un plus grand plaisir.

La masturbation est donc à mes yeux une œuvre civilisatrice qui peut mener aux joies du sexe, de l'érotisme et de la sensualité.
Et permettre de combattre les frustrations !

Frustrations, et là, il faudrait un autre billet, qui sont recherché par les Eglises et Religions qui les aiment, les créent et les entretiennent à coup de tabous, d'interdits et d'espionnage organisé au nom des bonnes mœurs et du sauvetage de nos "âmes".
Ainsi que part certains partis politiques et gouvernements, elle fut ainsi interdite sous les régimes communistes.
Frustrations aimées également par les entraineurs sportifs, qui interdisent tout sexe au sportif de leurs écuries avant les compétitions.
De même pour les militaires qui aiment la frustration celle-ci pouvant être sublimé en instinct belliqueux.
Frustrations qui se fait vocabulaire dans le monde des affaires qui ne cesse d'user de vocables dignes de pornos de bas étages : "on les a tous niqué, qu'est-ce qu'on leur a mis etc."

Libérer l'homme et la femme passe donc par la liberté sexuelle.
Liberté sexuelle qui ne peut exister sans se connaître et sans exploration de nos propres corps.
Alors masturbons-nous !
Masturbons nos compagnes et compagnons et jouissons sans entrave, ni tabou, entre adultes consentants ! Et merdre aux religions et aux bien-pensant !

Voir mon autre billet sur la masturbation un plaisir à partager.

Pour lire le premier chapitre de "Les délices d'Alice".


couverture délice d'alice

La masturbation un plaisir à partager

Suite à mon article précédent :
Masturber ou être masturber ? là est la question..."
 
femme se masturbant

La masturbation étant un acte solitaire comment la partager ?

homme masturbant femme

Eh bien en jouant, mesdames, messieurs.
Ainsi, je vous propose quelques positions que peut-être vous ne connaissez pas, essayez-les, partagez les (ainsi que cet article) et laissez-moi des commentaires :

"La veuve joyeuse".
Madame et Monsieur se font face et se masturbent en se regardant.
Jeu, histoire de pimenter, celui qui fini le premier aura un gage.

Variante : le faire tête-bêche.
Jeu : idem que le précédent et/ou bien le premier qui craque et caresse l'autre a perdu et doit avoir un gage.

"L'Amazone solitaire"
Mesdames, positionnez-vous au-dessus du visage de Monsieur ou de votre amante (ou à tout le moins le plus près possible) et caressez-vous.
Le jeu consiste à le ou la faire craquer afin qu'il ou elle vous touche ou prenne gagnant ainsi un gage.

femme se masturbant

"Le timide"
Faites messieurs parcourir la fente de votre compagne à votre verge. Caressez son sexe, ses lèvres, dessinez en les tours, contours et détours sans jamais y pénétrer !
Le gage ira à madame si elle craque et se pénètre de votre queue et à vous si vous n'y tenez plus...
Autre possibilité de gage : à celui qui le premier jouira.

Variante, monsieur s'allonge, madame, caresse sa verge de sa fente, sans s'aider de ses mains.

"Le masseur, la masseuse"
 
homme masse femme

Lumière tamisée, bougies et massez l'autre, puis passez du massage traditionnel au massage coquin.
Vous pouvez en faire un jeu de rôle en prétendant qui être client, qui masseur ou masseuse. Voire jouer au Kiné !

massage érotique

Variante : prétendez ne pas vouloir un massage sexuel. A savoir, jouer à vouloir un massage classique et refusez tout attouchement et privauté obligeant ainsi l'autre à vous caressez jusqu'à ce que vous ne sachiez plus refuser l'happy massage.
En ce cas, s'il y arrive vous aurez un gage !

main masculine masturbant femme


"Le manchot"
Pour ce jeu faites attention d'avoir les ongles courts et de ne pas avoir de cals aux pieds.
Vous pouvez les enduire de crème ou d'huile à massage.
Mettez-vous face à face, jambes écartées et caressez le sexe de l'autre de vos petons.
Au début faite le chacun à votre tour pour ne pas vous blesser.

Vous pourrez ainsi, tout comme moi, si d'aventure quelqu'un vous disait ou vous entendiez quelqu'un dire à autrui "tu, il baise comme un pied !" avoir l'heur de pouvoir répliquer :

"Je baise comme un pied et en suis fier, car ils ont fait jouir des femmes, mes pieds !"

religieuse se masturbant


Pour lire un chapitre de "Les délices d'Alice"

couverture délices d'alice

Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

mardi 20 janvier 2015

Les délices d'Alice - Le premier commentaire sur Amazon !

Par 



Achat vérifié(De quoi s'agit-il ?)

Ce commentaire fait référence à cette édition : Les délices d'Alice (Format Kindle)

Vraiment une très bonne surprise !

Beaucoup d'humour, un style bien à lui mais dans les règles de l'art du roman érotique.

Un passage m'a beaucoup plus dans la montée progressive de la découverte de sa sensualité... Alice qui fond sous les doigts de M. Dogson, mais je n'en dis pas plus, vous découvrirez par vous-même !

L'auteur m'a donc transporté dans son récit et je l'ai lu d'un seul coup, avec un plaisir évident. Pour celles et ceux qui recherchent le plaisir des sens et donc de la lecture d'un style authentique, je vous le conseille vivement !
 
  
Pour lire un extrait :
 
du premier chapitre : Ici.
 
du deuxième chapitre : .
 
Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

dimanche 18 janvier 2015

L'étoile de mer, ou ma réponse à l'article des Desculottées

 Je viens de lire sur le blog Desculottées (quel joli nom !), l'article suivant parut dans la bien nommée rubrique "Parlons cul" :

"Et si l'étoile de mer au lit n'était qu'un mythe ?"

Dans lequel elle évoque ces femmes qui alitées avec un homme préfèrent ou usent de cette position qu'elle nomme "l'étoile de mer" et que je connaissais sous le nom de "limande", ou "sole" en général farcie.

Position défini par Mlle Desculottées comme :
"Une nana qui fait l’étoile de mer au lit, c’est une nana qui ne fait rien en somme. Elle ne transmet tellement aucune émotion à l’autre qu’il n’en gardera d’ailleurs qu’un souvenir plat et sans intérêt. Elle se met sur le lit, écarte les jambes, et attends que ça se passe."

femme s'ennuie lit


Mlle Desculottées, lecteur et lectrice voici quelques réactions subjectives et à chaud de ma part sur mon ressenti à la lecture de cet article.

Cette position existe-t-elle ?
Oui, bien évidemment. Ce n'est certainement pas un mythe.

Pourquoi certaines femmes feraient-elles cela ?
Question complexe, qui ne trouvera pas ici de réponse complète et absolue si tant est qu'il y en est une.
Tout d'abord, il est par trop aisé de s'en prendre exclusivement aux femmes, tout comme, il serait erroné de s'en prendre qu'aux hommes.

Je pense que pour y voir un peu plus clair, il convient tout d'abord de faire le distinguo entre celles qui vont l'adopter, cette position occasionnellement et celles qui en feront souvent voire tout le temps usage.
Par tout le temps, j'entend bien entendu jusqu'à ce que...

Mais parlons d'abord des premières. Chère Desclulottées (j'aime vraiment ce nom et aimerais-vous en donner une !) je n'ai hélas jamais pu faire l'amour aux femmes comme l'une d'elles, aussi, puis-je vous donner le point de vue masculin sur cette question.

Eh, bien  les hommes l'adoptent parfois aussi ! Si !
En effet, ils nous arrivent à nous aussi, parfois, de nous retrouver au lit avec une femme qui ne nous plaît finalement pas tant que ça.
Et là dilemme que faire ?
Le lui dire et s'en faire une ennemie mortelle et encourir son courroux, car s'il est une chose que jamais femme ne pardonnera c'est bien d'être délaissée, négligée et rejetée une fois nue !
Alors ? alors, il faut bandaison trouver et l'acte consommer. Autant que faire ce peut, car mieux vaut passer pour un amant guère inspiré, pas au top de sa forme ou médiocre que d'encourir le courroux d'une louve-garou ni ne risquer qu'elle ne répande la rumeur que vous-êtes gai ou totalement inepte ou que sais-je d'autre...

J'imagine donc qu'il doit arriver aux femmes de se retrouver dans une situation similaire où peut-être parce qu'elles voulaient partir avec quelqu'un pour ne pas être seule, se venger, faire comme les autres ou bien parce qu'elles étaient pompettes ou que sais-je ? et que donc dans de telles circonstances elles aussi parfois font le minimum en attendant que ça se passe.

Triste ! Oh oui, ô combien triste !
Le sexe pouvant être source d'épanouissements et de plaisir sans nom.

Mais moins triste que celles qui en font une habitude jusqu'au jour où elles découvrent mieux.

femme jouit

Alors pourquoi et à qui la faute ?

La faute ?

La faute en est aux pornos qui mettent en scènes une gymnastique qui ne ressemble que vaguement au sexe.

Au fait que très jeune elles et ils y sont soumis voyant dès qu'ils ou elles vont télécharger des films ou disques des corps qui s'entrechoquent, des éjacs faciales et autres joyeusetées, qui le seraient joyeuses si faites avec les bonnes personnes et dans de bonnes conditions.

Au fait qu'ils et elles commencent le sexe de plus en plus tôt sans y être prêt psychologiquement.

A la peur de la pénétration qui n'est pas suffisamment abordée dans les livres et médias.

Au fait que de plus en plus de femmes vivent en un monde virtuel, elles prennent les transports en communs en tripotant leurs téléphones plutôt qu'en étant là. Elles marchent dans la rue la tête baissée, empressée ne sachant plus se rendre disponible à la rencontre (je vous invite à voir ou re-voir "Chacun cherche son chat") puis se mettent en ligne corps et âmes pour y trouver l'âme sœur.

Au fait que Mesdames, le speed dating est une merde sans nom, et le net ne saurait que rarement vous dévoiler et l'âme sœur et le corps qui saura vous envolupter.
Ré-apprenez à être ici dans l'instant, à être disponible, à apprécier le regard des hommes quand ils se font compliments, à vous laissez aborder mais pas par n'importe qui.

Au fait qu'il faut, homme comme femme apprendre de nouveau à séduire, à aborder l'inconnu(e), à observer et regarder et à ressentir l'instant.

Au fait que mettre des verges et chattes sur twitter ou sur des sites de rencontres fait étal de boucherie. Vous voulez être désiré et déshabillé pas vu comme un orifice ou une queue ! Je n'ai volontairement pas mis cette phrase au féminin car elle est tout aussi vrai pour les mecs.

A ce putain de mot : préliminaires ! Il m'horripile ! Enfin quoi ! Qu'est-ce à dire : que caresser une femme ne devrait mener et n'avoir d'autre but que de la préparer à la pénétration ?!
A chaque fois que j'entend ce mot je pense à un chronomètre faisant tic-tac et une fois passé un certain laps de temps une voix qui dirait :
"Masturbation ? Check, Bisous ? Check ! Ok Houston ready for penetration !"
Caressez-vous sans compter ni raison !
Combien de fois n'ai-je entendu une femme me dire :" tu peux arrêter je suis prête."
Ce qui me donne invariablement envie de pleurer et de mettre une claque (au bas mot) aux gugus qui leur ont fait penser que c'est ainsi que l'on fait l'amour.

homme fait cunnilingus


Au fait que des femmes vivent avec des mecs qui ne songeraient même pas à leur offrir un massage ou de réaliser l'un de leurs fantasmes, et elles en ont des fantasmes, les femmes ! Et que ces même femmes trouvent ça normal !?

homme attache pied femme

Au manque d'imagination, de sensualité, d'érotisme et de jeux dans l'acte.

Alors, oui Madame Desculottées l'étoile de mer existe.
Et, oui c'est triste, et oui c'est du gâchis.

Alors oeuvrons par nos blogs et écris à changer cela.

Ce que d'ailleurs j'essaie de faire puisque l'héroïne de mon premier roman "les délices d'Alice" est justement l'une de ces femmes qui étoile-des-mer, mais elle, Alice va découvrir l'étendue de sa sexualité et de ses fantasmes et devenir Femme avec un grand F.

couverture délices d'alice


Car personnellement je suis convaincu que si l'homme naît de la femme la femme ne devient Femme que par l'homme.

Car si la liberté de la femme ne fini pas par,
 elle commence certainement par le clitoris !

Pour lire un extrait de mon livre.

Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

Jean-Christophe Destailleur Strikes Again

Attendu que vous avez été nombreux à aller voir ses photos sur mon blog et qu'il m'en a envoyé des nouvelles en vue d'une éventuelle utilisation dans mon prochain livre,
je vous les dévoile ici,
pour votre plaisir donc :
des nouvelles jeunes femmes bellement photographiquement dénudées par Jean-Christophe Destailleur.



photo jean-chritopshe destailleur

 
photo jean-chritopshe destailleur

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photo jean-chritopshe destailleur

photo jean-chritopshe destailleur

photo jean-chritopshe destailleur
 
 
Les autres photos de Jean-Christophe Destailleur sont : ici.
 
Son site :
 
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Essbé
Les délices d'Alice