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mardi 6 janvier 2015

Les délices d'Alice - Chapitre 2

Le premier chapitre est ici.

Chapitre 2

 
 
 
C’est ainsi qu’Octave la trouva.
Il n’avait pu dormir, à cause des feulements et cris de chatte enamourée que la pudibonde mademoiselle n’avait cessé de pousser durant une grande partie de la nuit ! Dire que depuis son arrivée, elle n’avait cessé de jouer les vierges effarouchées, les miss virginité, snobant tout le monde. Pas le moindre sourire, surtout pour la gente masculine. Pas le moindre regard, rien. Et tout cela pour finalement se laisser aller à jouir comme une folle ! Ce qui avait eu pour effet de réveiller tout l’hôtel. Une moitié des clients s’était plaint, ou avait ronchonné en leur chambre, l’autre s’était masturbé, ou avait fait l’amour, en fonction de la chance de chacun…
Octave crevant de jalousie avait dans un premier temps fait partie de la première catégorie, puis, se ravisant, il s’était dit que finalement la situation avait du bon. D’une part, elle n’avait pas de liaison fixe, et serait donc probablement seule au petit matin, d’autre part si elle passait soudainement de la frigidité à la nymphomanie, cela pourrait après tout faire son affaire. Il se prépara donc fort tôt, alla furtivement à la cuisine, et bien que ce ne fût pas sa tâche, entreprit de lui préparer son petit-déjeuner avant l’arrivée des autres employés. Puis, bandant, les mains moites d’excitation, il prit le plateau et se rendit à la chambre de la demoiselle. Ce n’est que là qu’il hésita, ne sachant que dire pour lui faire ouvrir la porte si tôt. Par chance, en essayant la poignée à tout hasard, il s’aperçut qu’elle n’était pas close. Ce qui le fit de nouveau bander. Il avait le sexe et les bourses douloureusement gonflés, rien qu’à imaginer sa peau de blanche. 
La vision du cul d’Alice ainsi offert à son regard, sa peau ivoirine nimbée de lune, ne fut pas pour le calmer. Il manqua de laisser choir, son plateau à cette vue, et posa donc son excuse, de toute façon guère convaincante, sur la table. Se déshabillant, il se dirigea vers elle. Priant pour qu’elle soit toujours d’humeur cochonne, et n’appelle donc pas à l’aide. Le seul fait d’être ici signifierait pour lui le licenciement, ce qui vu le chômage… Mais, tant qu’il ne s’agissait pas de prison, ce cul lui paraissait le mériter. D’autant plus qu’elle représentait pour lui un double fantasme : cliente et blanche ! Il s’agenouilla, tremblant, ému et fortement excité, et promena son souffle sur sa peau velouté, qui se couvrit de chair de poule. Il inspirait à plein poumon son odeur de femme et de plaisir. Ce qui acheva de lui faire perdre toute retenue. Il se mit à fouir en grognant son sexe, l’écartelant, le mordillant, frottant son visage tout contre, le suçant, le léchant, l’aspirant.
Ce qui la réveilla en la faisant râler de plaisir, et gémir toutes sortes de propos incohérents.
« Non… oui… encore… je vous hais… démon… vieux salace… incube… ah ! Ah ! Oui… oui… continuez Mr. Dodgson… non ! N’arrêtez pas ! »
C’est pourtant ce qu’il fit.
Quoi ! C ‘était donc avec ce vieux sexagénaire (dans son esprit, il n’y avait pas redondance), qu’elle avait fait l’amour ! Octave se sentait floué, elle l’avait ignoré, lui jeune noir de son âge, plutôt bien de sa personne, au dire de certaines doudous de sa connaissance. Pour s’aller jeter dans les bras cochons de ce vieil érotomane qui ne cessait de tripoter les bonnes et serveuses. Et pas qu’elles, à ce qu’il avait entendu dire !
Alice reprit ses esprits, quoique se sentant excitée. Ce qui était nouveau pour elle. Elle se sentait étrange, son corps était tendu, attendant un plaisir qu'elle voulait lui refuser. Comme avant. Il était hors de question, qu’elle continue de se vautrer ainsi dans la luxure avec ce vieux pervers qui avait profité d’un instant de faiblesse, probablement dû à une maladie tropicale ou a une insolation, pour se livrer avec elle à la débauche. Et lui faire toutes sortes d’animalités auxquelles elles ne souhaitaient pas songer, pas plus qu’au plaisir qu’elle y avait pris.
Elle se retourna, se couvrant, et commença à lui dire de partir, lorsqu’elle s’aperçut qu’en lieu et fait du sexagénaire, c’était un jeune noir un peu maigre qui la regardait, les yeux écarquillés, et la bouche humide. Il se tenait nu au bord du lit, et la contemplait bouche bée. De saisissement, elle lâcha l’oreiller qui tomba sur ses genoux et découvrit ses magnifiques seins, d’une ronde et ferme lourdeur.
Sans plus s’attarder, oubliant d’être jaloux, il tendit les mains vers eux.
« Non ! Laissez-moi ! Sale porc, pervers, sale… homme ! » Cria-t-elle en bondissant vers la porte de la salle-de-bain, pour s’y réfugier. Elle s’apprêtait à l’ouvrir lorsqu’elle se rendu compte que dans son affolement, c’est vers celle du couloir qu’elle avait couru. Elle s’arrêta la main sur la clenche et se retourna prête à fuir dans le couloir au besoin.
Octave, commença à vouloir la suivre, puis affolé, le sexe en berne, il s’agenouilla, et tout en saisissant ses vêtements de serveur, il l’implora :
« Pitié, mademoiselle, il ne faut pas crier. Je ne suis pas méchant. Je ne vous veux pas de mal. Je ne suis pas un violeur. Je vais m‘ en aller si vous le voulez. »
Le voyant ainsi, Alice se calma et s’écarta légèrement de la porte.
« Bon partez, et je ne dirai rien.
Oui, oui, mademoiselle. »
Toujours nu, tenant ses vêtements en tas contre son pubis. Il se dirigea piteusement vers la porte. Elle rasa, nue, le mur, pour le laisser passer. La vue de son corps en mouvement, commença à émouvoir le pauvre Octave, aussi s’arrêta-t-il à un mètre et tenant serré ses vêtements contre son torse, il la regarda malheureux. Alice voyant son sexe commencer à se redresser, se remit à trembler. C’était la première fois qu’elle en voyait un en pleine lumière, du moins en dehors de son moment de maladie.
« Oh ! … hors d’ici, de suite où je crie ! »
« Que se passe-t-il ici ! Qui êtes-vous jeune homme, et que faites-vous ici ? »
Sursautant, Alice vit Mr. Dodgson, pénétrer dans la chambre, puis refermer la porte. Tout d’abord, effrayée, elle se rasséréna lorsqu’elle le vit, fronçant les sourcils, tancer le jeune homme.
« Il a tenté d’abuser de moi !
« Mais non ! » De saisissement, il en lâcha ses effets. « Je ne l’ai pas violée ! »
« Vraiment ? Alors en ce cas, que faites-vous, ici, nuitamment, et dans le plus simple appareil, je vous prie ? » Ce disant, il s’interposa entre lui et la jeune femme. Qui se cacha derrière lui, cherchant du regard de quoi se vêtir.
« Mais… » Rougissant, bafouillant, se croyant perdu, Octave joua son va-tout. « Elle… elle jouissait, elle aimait, je vous jure. »
« Vraiment ? Evidement en ce cas… »
« Quoi, mais… vous n’allez tout de même pas le croire ! » Cria Alice en sursautant. Baissant la tête et rougissante, elle ajouta : « Il a profité de mon sommeil, pour… et je… enfin… »
Elle releva la tête et regarda Mr. Dodgson qui amusé, s’était tourné vers elle et la scrutait en attendant de voir comment elle réagirait. Se ressaisissant, elle lui darda ses yeux sombres : « Et d’ailleurs, je n’ai pas à me justifier. Surtout vis à vis de vous, qui avez également profité de manière inélégante d’un malaise de ma part pour… »
« Vraiment ?
Oui ! Et maintenant veuillez sortir de suite de ma chambre !
 Mais certainement », il la salua d’un mouvement de tête qui lui permit de la reluquer.
Il commença à se tourner vers la porte, imité en cela par un Octave trop content de s’en tirer à si bon compte. Pour finalement, se tourner de nouveau, vers Alice, qui l’avait suivie, pressée de clore la porte, et d’oublier ce cauchemar.
« Et maintenant comment vous sentez-vous ?
Bien ! Sortez !
Plus de malaise ?
Non, et pour la dernière… »
Il lui saisit le bras, ce qui la laissa hébétée, et effrayée.
« En ce cas et avec votre permission ». De l’autre main, il empêcha Octave d’ouvrir la porte. « Il nous reste à déterminer si ce jeune homme, est ou non, coupable du grave crime dont vous l’avez accusé. Ce qu’une toute petite expérience va de suite démontrer. » Ce disant, il les entraîna, vers le lit, tenant chacun d’eux d’une main.
« Calmez-vous jeune homme. Vous ne voulez pas aller en prison, n’est-ce pas ?
Non, je…
Alors, il le regarda dans les yeux : obéissez !»
Octave, subjugué, ne put qu’acquiescer. Alice, tentait de se dégager, et de parler, mais elle ne réussissait, ni l’un ni l’autre. Elle ne pouvait, affolée et paniquée qu’assister à la scène, comme en spectatrice les yeux écarquillés et le souffle court.
« Bien, donc », il se tourna vers Alice et lui souriant, il dit à Octave, « faites-lui ce que vous lui faisiez, avant qu’elle ne se réveille, ainsi, nous saurons. »
Il lâcha Alice, en faisant s’agenouiller le jeune homme, puis il alla s’asseoir après avoir fermé la porte à clef. Alice recouvrant la maîtrise de son corps, reprit une goulée d’air. Elle avait l’impression d’avoir fait de l’apnée. Octave la tête à moins de dix centimètres de la toison soyeuse et noire de jais d’Alice, se sentit de nouveau durcir. Il lui embrassa la fourrure. Ce qui la fit hoqueter. Puis, toujours l’embrassant, il finit par la saisir aux hanches pour l’empêcher de se trémousser. Eperdue Alice tenta de se dégager mais à chaque fois qu’il apposait ses lèvres sur son mont de Vénus, une décharge électrique la parcourait, l’empêchant d’agir. Implorante, elle regarda le vieil homme, qui l’œil brillant d’excitation n’en perdait pas une miette.
Lorsqu’Octave la prit par les hanches, elle eut un sursaut et s’affala sur le lit. Il eut beau jeu alors, de lui écarter les cuisses. Il en posa une sur son épaule, et entreprit de, de nouveau, lui mignoter la foune. D’abord timidement, ne pouvant oublier la présence de l’autre homme, puis avec de plus en plus de cœur à l’ouvrage. Finissant par de nouveau lui dévorer le sexe, avec force grognement et bruit de succion. Alice quant à elle, de contrite et mortifiée, finit par feuler et hurler sa jouissance au monde, s’agitant en tout sens.
Essoufflé, Octave, contemplait le corps abandonné d’Alice s’apprêtant à en jouir de nouveau mais différemment.
Lorsqu’il sentit Mr. Dodgson lui murmurer à l’oreille :
« Il appert, que vous disiez vrai, je crois, que vous méritez une récompense, allez-y. »
Ce disant, il lui caressa la verge tout en lui enfilant un préservatif. Octave, un instant surpris, se ressaisit lorsqu’il sentit que le vieil homme retournait s’asseoir. Il hésita un instant, profitant au maximum de chaque seconde le séparant de l’assouvissement de ses tensions et fantasmes. Il posa la main sur le doux ventre de la demoiselle, qui justement commençait à se remettre de sa pâmoison.
Et frottant le gland de son sexe noir, contre le petit sexe corail de la belle, il entreprit de la faire gémir, lui-même plus qu’ému par les sensations ainsi transmises à sa bite. Il joua ainsi un instant puis, n’y tenant plus il la pénétra. Une fois en elle, haletant, il s’arrêta savourant les sensations, et la pensée, qu’il était vraiment en train de la baiser, elle la belle jeune femme, hier si distante. Jeune femme qui pour l’heure gémissait, le vouant aux gémonies, puis, l’instant d’après le suppliant de la baiser, et de la prendre. Ce qu’il finit par faire. D’abord lentement, en lui caressant, malaxant et suçant les seins. Puis, lui prenant les cuisses à pleines mains, il la besogna hardiment en criant lui-même. Soumise à ces coups de boutoirs, Alice ne put s’empêcher de jouir, en l’insultant et en le maudissant pour cela. Octave, n’en était que d’avantage excité, plus elle gueulait et l’insultait plus il la labourait.
Il s’apprêtait lui aussi à jouir, lorsqu’il sentit la main de Mr.Dodgson, le saisir aux couilles et l’en empêcher.
« Attendez, juste un instant, cette jeune damoiselle, mérite une petite punition pour son manque de reconnaissance à votre égard.»
Il s’agenouilla, et d’une main écarta les fesses d’Alice, tout en repoussant doucement Octave, guère heureux de la situation.
« Chut ! Juste un instant que je vous prépare le terrain, et vous pourrez de nouveau prendre cette ingrate jeune fille. »
Excité à l’idée de ce qu’il croyait avoir compris, il regarda le vieux monsieur, découvrir des deux mains l’œillet de la demoiselle, et entreprendre de le lécher longuement, d’abord en le déplissant, et en, en titillant les fronces, puis en le pénétrant de sa langue durcie.
Ce qui fit sangloter, et se trémousser Alice :
« Non, non, pitié pas cela, non, c’est sale… »
Elle ne put s’empêcher de gémir, de se tortiller et d’écarter d’avantages ses cuisses et ses fesses. Pour finir, tout en exprimant son refus, elle ouvrit d’avantage son anus, découvrant, tout le rose, que nul n’avait jamais vu, encore moins léché. Octave n’en perdait pas une miette, bandant encore plus que jamais auparavant, il en tremblait. Son sexe le faisait souffrir de sa dureté. Mr. Dodgson, quelque peu essoufflé s’arrêta et d’une main tenant les jambes et de l’autre écartant les fesses d’Alice, invita du regard Octave à l’enculer.
« Pitié, oh ! Non… », sanglota-t-elle, tout en se caressant les seins, « ne me faites pas cela, pas la so… » Elle ne put se résoudre ce mot qu’elle jugeait infâme… « pas les derniers outrages… »
Pendant qu'elle était ainsi en train de gémir et de protester sans trouver la force de la conviction, Octave ayant une bonne fois pour toute, décidé de ne pas chercher à la comprendre. Et ayant décidé d’écouter son corps, qui l’appelait et non sa bouche qui le refusait, entreprit de l’enculer. Ce qui prit, malgré la salive de Mr. Dogson, et la mouille que celui-ci prélevait dans la chatte, encore béante, pour en badigeonner le sexe d’Octave, un peu de temps.
Une fois qu’il eut passé lentement le gland. Il tourna son sexe dedans son cul pour le lui agrandir, puis s’y enfonça doucement, mais inexorablement, ce qui la fit feuler. Mr. Dodgson, se releva et alla regarder le visage d’Alice, pour y lire son plaisir. Il lui caressait les seins, la tête, les cheveux, la branlait, et l’embrassait, en fonction de ses envies à lui. À d’autres moments, il lui tenait la tête et fixait son regard éperdu de jouissance, lui susurrant des propos cochon.
Pendant ce temps, Octave excité à l’idée de l’enculer, la tenait par les cuisses, ses pieds posés sur ses épaules, et tentait de réfréner l’envie de la bourrer à grands coups de reins pour tenter de faire durer son plaisir. Mais, il ne put tenir longtemps, trop excité par la situation, par le contraste de leur couleur, et par ses sensations, d’autant que ses couilles se faisaient douloureuses. En quelques coups de reins puissants, il entreprit de se les vider dans son cul, puis épuisé, s’allongea à même le sol.
Une fois Octave parti. Mr. Dodgson, entreprit de calmer Alice qui se mit à sangloter.
Il la caressa tendrement, la berçant et lui susurrant quelques paroles :
« Voyons, mon enfant… Ne pleurez pas… Vous n’avez rien fait de mal… Il n’y a là que de naturel… Quel mal y a-t-il à jouir… Vous ne pouvez prétendre n’avoir pas joui… Chut… Calmez-vous… Ah ! Si j’étais plus jeune… Vous êtes belle mademoiselle, divine lorsque vous jouissez… Allons… Allons, calmez-vous… »
Puis, lorsqu’elle commença à se calmer, il lui lécha de nouveau le sexe, mais avec une extrême douceur cette fois. Ce qui la fit trembler et pleurer de bonheur. Lorsqu’elle fut endormie, il la coucha, la borda et après l’avoir embrassé sur le front, il sortit déposant le panneau : « Do notDisturb !» sur sa porte.

 
Pour lire le : premier chapitre.

Pour lire le : troisième chapitre.

Erotiquement votre,
Essbé
Les délices d'Alice

7 commentaires:

  1. wouah... j'ai adoré... merci pour ce bel instant....

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  2. Merci anonyme lecteur ou lectrice.

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  3. Bonsoir Essbé,
    C'est avec plaisir et délectation que je viens de l ire le chapitre 2 des délices d'Alice. Les personnages libidineux font ressortir la volupté, la sensualité, la sexualité débridée, la découverte des sens et des sensations nouvelles pour une jeune femme coquine comme l'est Alice. Au vif plaisir de lire la suite, Benoît

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  4. Bonjour Benoît,
    Merci pour ce beau compliment Benoît !
    Pour lire la suite il vous faudra l'acheter sur Amazon :)
    Elle est à l'avenant et devrait vous plaire,
    J'espère que vous la lirez et me laisserez un commentaire sur Amazon.
    Erotiquement votre,
    Essbé

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  5. Molière disait : "Les femmes sont plus chastes des oreilles que de tout le reste du corps" et moi je rajouterai Les femmes sont plus chastes des oreilles et de la moralité que de tout le reste du corps, mais une fois la moralité écartée... De part votre faute cher ami me voilà la dentelle légèrement humide... Merci !

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    1. Lol Vous me faites rire et un peu rougir, merci de ce joli compliment Nie Simon.
      Faire mouiller les dentelles d'une lectrice est le plus beau compliment que l'on me puisse faire.
      C'est là l'une des raisons majeures pour laquelle j'écris de l'érotisme.
      Si je vous donne envie de vous encanaillée d'érotique manière alors lisez le reste, et laissez-moi un commentaire sur Amazon.
      Merci encore,
      Erotiquement votre,
      Essbé

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  6. Tès érotique ... sensuel aussi ...

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Merci de me laisser un commentaire,
Erotiquement votre,
Essbé